Violence sociale, répression globale
Samedi dernier, soixante-six rassemblements se sont tenus dans toute la France. Refus de la loi de sécurité globale, mais aussi appel syndical contre les licenciements, le chômage et la précarité.
Le lien a ainsi été fait entre la violence sociale que subit un nombre croissant de français et les violences policières qui entendent désormais réprimer tout mouvement social.
Dans le cortège parisien, l’heure était à la convergence et au rassemblement de toutes et tous. Syndicats, organisations de défense des droits humains, gilets jaunes, organisations féministes, LGBT, anti-racistes… jusqu’à ce que le dispositif policier n’empêche la manifestation de se dérouler comme la Préfecture de police de Paris l’avait autorisé.